Paul Verlaine: Túl a tetőn a menny…

Túl a tetőn a menny ragyog,
s ringat még kék eget,
Túl a tetőn a hárs ragyog,
s lombja is integet.



Harangszó réved el dongva,
s pattogó fényre dűl.
Madárfütty olvad a lombra
bágyadó énekül.



Oh, Egek, hogy zsong ott a tér,
tetőn túl mily’ édes!
E zsongás mindig visszatér,
s mind, mi békességes.



Ma már hiába hull könnyed!
Te balga, most bánod,
Élted mihaszna volt, - könnyed,
S eltűnt ifjúságod.


 



Le ciel est, par-dessus le toit...



Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.

La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.

Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.

--Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?